Montpellier : Antoine et Lili, quand les couleurs du monde s’installent sur la Comédie

samedi 05 juillet • 14:24
Depuis le 21 juin la marque française de prêt-à-porter Antoine et Lili investit le numéro 10 de la place de la Comédie pour l'été.

Antoine et Lili est une marque française née il y a 30 ans de l’idée d’un groupe d’amis, inspirés par leurs voyages aux quatre coins du monde. Ensemble, ils ont imaginé un univers vestimentaire haut en couleur, avec des imprimés évoquant l’Asie, l’Amérique latine ou encore l’Inde.

Des pièces aux couleurs du monde

Depuis le 21 juin, la boutique éphémère Antoine et Lili s’est installée au 10, place de la Comédie à Montpellier. Elle propose une collection estivale, composée de pièces colorées et lumineuses, à l’image des cultures qui ont inspiré la marque. « C’est un effet miroir sur les cultures du monde », confie la gérante du point de vente montpelliérain. Quelques éléments de décoration textile complètent l’univers de la boutique, pour une immersion totale.

Une production française et responsable

La marque défend une production locale et responsable. Selon la gérante, « 90 % du prêt-à-porter est fabriqué en France », à l’exception de certains accessoires. Les vêtements sont conçus à partir de matières naturelles, avec des tissus achetés en France, sauf les carrés de soie confectionnés en Inde.

Une large gamme de prix

La gamme de prix s’étend de 49 euros pour un t-shirt simple à 300 euros pour une robe en soie travaillée. Des chaussures fabriquées en France sont également proposées à 185 euros. « La gamme des prix est accessible en sachant que les produits sont made in France et au regard du coût de la main d’oeuvre en France ». Pour les portemonnaies les plus modestes, Antoine et Lili propose aussi des prix cassés pendant les soldes d’été, avec des réductions allant jusqu’à 50 %.

Une présence qui pourrait durer

La boutique Antoine et Lili reste présente sur la place de la Comédie jusqu’au 20 septembre, avec l’ambition de s’installer durablement dans le centre-ville par la suite.

Antoine Fagant/InfOccitanie.